Conférence principale : Manon Tremblay, directrice principale, Directions autochtones, Université Concordia
Mon statut pour la session
Célébrer les langues autochtones dans le milieu universitaire
Alors que les établissements postsecondaires cherchent à se réconcilier avec les peuples autochtones et à décoloniser le milieu universitaire, les langues autochtones ne reçoivent que très peu d’attention. Les universités peuvent jouer un rôle clé en favorisant un environnement d’apprentissage florissant où les langues autochtones sont accueillies et célébrées, et en contribuant à la revitalisation et au développement de ces dernières. Cependant, il y a des considérations importantes à aborder pour assurer le maintien de l’intégrité universitaire. Cette conférence principale abordera les enjeux et les occasions passionnantes de renforcer les capacités institutionnelles et de favoriser l’excellence dans l’enseignement, l’apprentissage et la communication en langues autochtones à l’université.
Présidence : Dominique Michaud, Directrice du développement de la recherche, Bureau de la recherche, Université Concordia
Une traduction simultanée en français sera offerte durant cette séance.
Note biographique :
Manon Tremblay est directrice principale des directions autochtones à l’Université Concordia. Elle y supervise la mise en œuvre du plan d’action sur les directions autochtones. Avant son entrée en fonction à l’Université Concordia, Mme Tremblay était directrice, Recherche autochtone, au Conseil de recherches en sciences humaines du Canada, où elle dirigeait l’initiative visant le renforcement des capacités de recherche autochtone. Auparavant, elle a occupé le poste de chef de projet principale au Centre d’expertise autochtone, à la Commission de la fonction publique du Canada. Elle s’occupait des programmes et des services stratégiques de gestion des talents autochtones. Tout au long de sa carrière, Mme Tremblay a travaillé à faire avancer les dossiers touchant les peuples autochtones. Elle est membre de la nation crie de Muskeg Lake et s’intéresse vivement à la préservation de la langue crie.